Description de l’activité :
- Actes de chirurgie, de radiologie, consultations en cabinet
- Vaccinations, surveillance d’hygiène (en campagne)
Public :
Patientèle : Paysans, éleveurs, agriculteurs en milieu rural, particuliers,
Lieux d’activité :
- Clinique vétérinaire
- Centre hospitalier vétérinaire
- Cabinet libéral (en majorité)
- Ferme, élevage, centre équestre en milieu rural
- Laboratoire pharmaceutique ou de biologie
- Service d’urgence (SOS Vétérinaires, sapeurs-pompiers)
- Direction des services vétérinaires
- Ecole vétérinaire
- Parc zoologique
- Armée
- Domicile du client pour des urgences
- Abattoirs
- Cirques
- Coopératives agricoles
- Industrie agroalimentaire
Exigences principales pour exercer le métier
- Savoir s’organiser pour gérer ses tâches et activités en fonction des urgences
- Passion pour les animaux
- Être capable d’assurer un travail physique avec des contraintes posturales et du port de charges
- Posséder un grand sang froid
- Grande disponibilité, polyvalence, rigueur
Contraintes du métier :
- Stress lié à la surveillance médicale de l’animal malade, aux conséquences de l’euthanasie
- Simultanéité des tâches
- Travail le dimanche, les nuits et les jours fériés
- Astreintes
- Risques de morsures, griffures, gestes brusques de la part des animaux
- Travail en l’urgence
Salaires :
Débutant : 2 000 €
Expérimenté : environ 3 300 €
Formation :
Pour devenir vétérinaire, il faut obtenir le diplôme de docteur vétérinaire.
Seul le concours « post-bac » a lieu pendant l’année de terminale et donne accès à la première
année commune aux ENV (Ecole nationale vétérinaire) publiques→ inscription sur parcoursup Toutes les autres voies permettent d’entrer sur concours en deuxième année, après deux ans minimums d’années d’études après le bac en lycée ou à l’université.
Les études durent quatre ou cinq ans selon le niveau des candidats à l’entrée. Les élèves admis au concours sont répartis entre les quatre écoles (Maisons-Alfort, Lyon, Nantes ou Toulouse) en tenant compte de leur classement et du nombre de places offertes dans les écoles.
Évolutions possibles :
- Direction d’une clinique vétérinaire ou d’un service vétérinaire d’état
- Carrière dans la recherche
- Poste à responsabilité au sein d’une grande industrie agroalimentaire ou pharmaceutique
- Master de spécialisation en médecine vétérinaire spécialisée ou en gestion des ressources animales et végétales en milieux tropicaux.
- Formation en ostéopathie animale ou acupuncture